http://madame.lefigaro.fr/mode/defiles/femmes/4/181-viktor-rolf/collection
Je vous mets au défi de vous imaginer dans une seule de ces tenues ! Mais le plus effarant est sans conteste l'article qui accompagne les photos dans le Figaro..On y sent une admiration totale pour un défilé surréaliste et importable ! Je me pose une question :lorsqu'on est journaliste au rayon mode d'un grand quotidien ,est-on réellement obligée de paraître tout aimer ? Ce qui est lamentable EST lamentable !Point ! Cette journaliste craignait-elle de perdre son précieux Sésame pour assister aux défilés ?
Fin d'émission pour Radio-Vipère ! :-)
Viktor & Rolf
Par Virginie Mouzat, Le Figaro, le 26.02.2007
« Le show est contenu dans les vêtements et non l’inverse », expliquaient les Néerlandais Viktor & Rolf. Ainsi les mannequins passaient harnachés d’un dispositif son et lumière sur des perches en acier fixées à même le corps, le vêtement recouvrant le tout. Bref, si chaque pièce est un spectacle en soi, la collection, élégante, est moins forte que la mise en scène.
Les filles, chaussées de sabots en bois peint, marchent avec mille précautions. On remarque un blouson beige à manches trois quarts sur pantalon de velours côtelé rouge ou un manteau dont la jupe ample est déployée sur les tubes d’acier éclairé d’une guirlande lumineuse par en dessous, une doudoune en brocart, un pantalon court à revers… Mais on est tellement hypnotisé par la savante construction de chaque « minishow » qu’on en perd le fil d’une collection pourtant prometteuse.
Viktor & Rolf
Par Virginie Mouzat, Le Figaro, le 26.02.2007
« Le show est contenu dans les vêtements et non l’inverse », expliquaient les Néerlandais Viktor & Rolf. Ainsi les mannequins passaient harnachés d’un dispositif son et lumière sur des perches en acier fixées à même le corps, le vêtement recouvrant le tout. Bref, si chaque pièce est un spectacle en soi, la collection, élégante, est moins forte que la mise en scène.
Les filles, chaussées de sabots en bois peint, marchent avec mille précautions. On remarque un blouson beige à manches trois quarts sur pantalon de velours côtelé rouge ou un manteau dont la jupe ample est déployée sur les tubes d’acier éclairé d’une guirlande lumineuse par en dessous, une doudoune en brocart, un pantalon court à revers… Mais on est tellement hypnotisé par la savante construction de chaque « minishow » qu’on en perd le fil d’une collection pourtant prometteuse.
3 commentaires:
Ha bon? T'aimes pas les sabots? trop bruyant chez toi? Rire
Tu changerais pas d'avis? Je t'imagine bien un verre de blanc (AOC of course)à la main défilant sur du Cab ....ou une descente d'escalier genre Lyne Renaut à Végas!! Allez encore un ptit effort stp!!! xN
Oh toi ! Va falloir que je t'organise un défilé? :-))
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