Lu sur le site:
http://lemurmuredesmots.blog.lemonde.fr/lemurmuredesmots/2005/02/coup_de_cur.html
Lucie Petit est un poème vivant qui butine la vie en bourdonnant. J’ai appris ses voltiges, ses reculées dans le buisson des rêves, ses merveilles papetières éditées ou pas, son amitié exigeante et parfaite.Plus je la lis, plus je l’approuve, plus je la lis, et plus je l’aime… Même longueur d’ondes, même intransigeance sur les vérités utiles, même patience dans la texture éminente des mots, même doute sur leur portée et leur pérennité, même rire enrayé de larmes, même solidarité pour tout ce qui peut se dire sans faire décaniller les astres au mitan de la voûte céleste. Nous deux, on est contre le tir aux pigeons ! Et j’aime bien quand elle corrige mes photes sur mon blog. Elle est mon “Ange Maladroit” préféré, un peu bourdon, un peu féline, un peu Belge… Je stoppe là ma litanie… j’entends très distinctement un bourdonnement, dubitatif bien sûr, dans mon oreille gauche… Lucie Petit c’est du miel aux câpres…Hum ! Je vais me faire griffer…
Et dans son premier recueil Mosaïques :
“une plume s’ennuie dans la poussière au-dessus de l’armoire,rêve d’aigle aux confins du ciel,bataille d’oreillers ailes d’ange .Par la fenêtre ouverte entre une brise mutine qui lui donne un baiser sur le nez ébouriffe la lumièrechante un air au miroir tourne la page et s’en va, la plume accrochée à sa queue
la poussière s’ennuie au -dessus de l’armoire”
................................................................................................................................
Un coquelicot sur le cœur :
“j’ai rangé tes petits noms bien pliés dans mon tiroir,cachés sous l’odeur de ta peau
des noms faits main,sur mesure, une caresse
maintenant je ne porte plus qu’un nom commun”
http://lemurmuredesmots.blog.lemonde.fr/lemurmuredesmots/2005/02/coup_de_cur.html
Lucie Petit est un poème vivant qui butine la vie en bourdonnant. J’ai appris ses voltiges, ses reculées dans le buisson des rêves, ses merveilles papetières éditées ou pas, son amitié exigeante et parfaite.Plus je la lis, plus je l’approuve, plus je la lis, et plus je l’aime… Même longueur d’ondes, même intransigeance sur les vérités utiles, même patience dans la texture éminente des mots, même doute sur leur portée et leur pérennité, même rire enrayé de larmes, même solidarité pour tout ce qui peut se dire sans faire décaniller les astres au mitan de la voûte céleste. Nous deux, on est contre le tir aux pigeons ! Et j’aime bien quand elle corrige mes photes sur mon blog. Elle est mon “Ange Maladroit” préféré, un peu bourdon, un peu féline, un peu Belge… Je stoppe là ma litanie… j’entends très distinctement un bourdonnement, dubitatif bien sûr, dans mon oreille gauche… Lucie Petit c’est du miel aux câpres…Hum ! Je vais me faire griffer…
Et dans son premier recueil Mosaïques :
“une plume s’ennuie dans la poussière au-dessus de l’armoire,rêve d’aigle aux confins du ciel,bataille d’oreillers ailes d’ange .Par la fenêtre ouverte entre une brise mutine qui lui donne un baiser sur le nez ébouriffe la lumièrechante un air au miroir tourne la page et s’en va, la plume accrochée à sa queue
la poussière s’ennuie au -dessus de l’armoire”
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Un coquelicot sur le cœur :
“j’ai rangé tes petits noms bien pliés dans mon tiroir,cachés sous l’odeur de ta peau
des noms faits main,sur mesure, une caresse
maintenant je ne porte plus qu’un nom commun”
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