dimanche 3 juin 2007

Ah , Monsieur Guitry !



NONO : Me donneriez-vous vingt-cinq ans ?

ROBERT : Si j'avais vingt-cinq ans, je les garderais pour moi!

(Nono, p.33, Livre de Poche no 2346)


Ça c'est vu: des gens qui ne pouvaient pas se quitter tellement ils se disputaient bien ensemble. (Toâ, p.183, Livre de Poche no 2346)


Si tu savais ce que c'est que d'avoir trente ans ! Il faut sans doute les avoir au moins deux fois pour le comprendre !

(Mon père avait raison, p.47, Livre de Poche no 1953 )


Comme nous sommes prétentieux avec nos enfants... nous leur donnons la vie... et nous voulons faire mieux, comme si c'était possible !

(Mon père avait raison, p.211, Livre de Poche no 1953


[...] des yeux dont on eût dit que la pupille respirait.

(Mémoires d'un tricheur, p.64, Livre de Poche no 1141)


Je ne sais pas juger les hommes que j'admire...

(Frans Hals, p.30, in Théâtre IV, Éd. Le Livre Contemporain)


Ça ne se donne pas, les leçons, ça se prend...

(Frans Hals, p.39, in Théâtre IV, Éd. Le Livre Contemporain)


Admirer, c'est aimer sans espoir de retour....Ce n'est pas un échange...

(Frans Hals, p.52, in Théâtre IV, Éd. Le Livre Contemporain)...


il y a des histoires qui sont trop jolies pour être racontées...

(Béranger, p.284, in Théâtre IV, Éd. Le Livre Contemporain


J'aime la liberté... au point de lui sacrifier la mienne.

(Béranger, p.317, in Théâtre IV, Éd. Le Livre Contemporain)


quand on a une opinion, on ne la chuchote pas... on la chante... ou on la crie !

(Béranger, p.359, in Théâtre IV, Éd. Le Livre Contemporain)

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