mercredi 2 mai 2007

Encore le fait du Roi !


Il y a bien des zones de non -droit et ce ne sont pas nécessairement les HLM de banlieue !!! Qu'y a t'il donc à cacher ? Rien si tout a bien été fait selon nos lois ! J'espère vraiment que ces 2 juges seront soutenues dans leur travail tout à fait légitime !Et flûte ,ils commencent à me courir sur le haricot ,tous ces gens qui se croient au-dessus de nous et des lois !! Ca m'énerve sec !


Tentative de perquisition à l’Elysée dans l’affaire Borrel:

Les deux juges enquêtant sur d'éventuelles pressions politiques sur la justice dans l'affaire Borrel, un magistrat retrouvé mort en 1995 à Djibouti, ont tenté mercredi matin de perquisitionner à l'Elysée, mais l'accès leur a été refusé par les gendarmes, a-t-on appris de sources judiciaires. Une juge «bousculée»L'Elysée a confirmé l’information, invoquant l'article 67 de la Constitution sur le statut juridique du chef de l'Etat. Une des juges a été «bousculée par un gendarme», a affirmé Olivier Morice, l’avocat d'Elisabeth Borrel, la veuve du juge Borrel.
Devant le refus de la garde républicaine de les laisser entrer dans les lieux, les juges Fabienne Pous et Michèle Ganascia ont requis l'autorité du gouverneur militaire de Paris. Ils instruisent une plainte avec constitution de partie civile d'Elisabeth Borrel dénonçant «des pressions sur la justice» dans l'enquête sur le décès de son mari Bernard Borrel, après la publication d'un communiqué de presse par le Quai d'Orsay le 29 janvier 2005.Des perquisitions dans deux ministères ont déjà eu lieu dans cette affaire: d'abord au ministère des affaires étrangères le 19 avril et à la Chancellerie le lendemain. Le Garde des Sceaux, Pascal Clément, interrogé par l'AFP à la sortie du conseil des ministres, n'a pas souhaité faire de commentaires. «Cellule africaine»Les deux magistrates souhaitent perquisitionner la «cellule africaine» de l'Elysée, a-t-on précisé de source proche du dossier. L'Elysée est une enceinte militaire, explique une source judiciaire. Les magistrats doivent obtenir une autorisation préalable du chef de corps en charge de la sécurité du Palais présidentiel pour y pénétrer.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Que l'on soit d'accord ou non avec le statut pénal du chef de l'état, on aurait pu faire cela avant ..ou après l'élection...cette affaire traîne depuis tellement longtemps que qq jours n'auraient rien changé...