Yahoooooooo! je suis un trente millionnième ! Heuuuuu, ça ne change pas vraiment ma vie :-))
30 Millions d'internautes en France, et moi et moi !
L'institut Médiamétrie vient de publier une nouvelle étude sur le taux de pénétration de l'Internet en France, une étude qui nous apprend que notre pays compte plus de 30 millions d'internautes. Internet continue ainsi de se répandre dans l'Hexagone, ce qui profite naturellement aux grands médias et aux cyber marchands puisque plus de 60% des français surfent donc régulièrement sur ce média. Les chiffres de Médiamétrie et GfK font état de plus de 30 654 000 internautes français de plus de 11 ans naviguant sur le réseau des réseaux.Toujours selon Médiamétrie, 23,4 millions d'internatures profitent d'une ligne haut-débit personnelle au mois de juin 2007 alors qu'on en comptait 18 millions il y a tout juste un an. Quelques 12 millions de foyers seraient raccordés au réseau des réseaux soit 46,6% des foyers français.
J'ai des fervents supporters de l' Ol dans la famille et je serais frappée si je ne parlais pas du 6è Trophée gagné par l' Olympique Lyonnais !:-))
Le champion de France de football, l'Olympique lyonnais, a remporté pour la sixième fois consécutive le Trophée des Champions samedi sur son terrain de Gerland, aux dépens du FC Sochaux-Montbéliard, par 2 à 1. Sochaux, dont l'ancien entraîneur, Alain Perrin, a succédé à Gérard Houllier aux commandes de l'OL, a ouvert le bal à la 14e minute par son jeune attaquant slovène Valter Birsa, seul face à Grégory Coupet. Vexé, Lyon égalise six minutes plus tard par Sidney Govou, qui pénétre dans la surface par le flanc gauche et marque dans un angle fermé. Cris donne finalement l'avantage à Lyon en marquant à sur un corner peu avant la mi-temps. Alain Perrin, qui a mené Sochaux à la victoire en Coupe la saison dernière avant de venir tenter l'aventure à Lyon, peut être rassuré. Malgré la perte de joueurs de valeurs et un recrutement peu spectaculaire, Lyon est déjà dans le coup et sera le grand favori du championnat, qui redémarre le week-end prochain.
http://www.linternaute.com/humour/decouverte/selection/lions-d-or/1.shtml Moins "paillettes" mais plus déjanté que le Festival de Cannes, le 54ème Festival "Cannes Lions" a eu lieu en juin. Les meilleures agences de pub de la planète se battent pour y présenter leurs créations. Parmi les vainqueurs, L'Internaute a sélectionné dix petits bijoux d'humour et d'inventivité.
A 65 ans, Jane Stillwater a une certitude : ''Jamais, je n'arrêterai d'être une blogueuse.'' http://jpstillwater.blogspot.com/ Jane Stillwater blogue depuis sept ans pour dénoncer la politique du président américain. Une démarche qu’elle a poussée à son paroxysme en partant en avril dernier en Irak par ses propres moyens.
Portrait d’une révoltée permanente.
Elle n’en est toujours pas revenue. Trois mois après avoir quitté Bagdad, Jane Stillwater est toujours obsédée par la mission qu’elle s’était fixée au départ : pénétrer dans la zone rouge de la capitale irakienne. Une vraie chimère pour une «Américaine de base», «plus une vieille hippie que grand-mère», comme elle aime à se décrire sur le blog qu’elle tient depuis sept ans. «J’ai essayé tout ce qui était humainement possible pour y retourner en vain. Sur place, plusieurs unités étaient d’accord pour m’encadrer mais elles n’ont jamais eu le feu vert des hauts-gradés du Département d’Etat. Sans doute les mêmes qui ont été nommés par Bush», raconte-t-elle, amère.
Il faut dire que pour rassembler un à un les 1.072 dollars d’un billet à destination du Koweït et pénétrer dans le bourbier irakien, cette enseignante dans un centre pour les délinquants juvéniles à Berkeley a mis sa vie entre parenthèses pendant plusieurs mois. Sa recette ? Un régime draconien pour son compte en banque : des sandwiches au beurre de cacahuètes. Et ce, malgré son appel aux dons en ligne sur son blog sur lequel elle entend expliquer à ses internautes que «Bush est en train de tuer la crème des Américains pour servir ses propres intérêts.»
«Stress post-traumatique» Depuis son retour à Berkeley en avril dernier, la pasionaria antiguerre de 65 ans peine à reprendre pied dans la réalité. «J’ai subi un stress post-traumatique ! J’ai erré comme une ahurie pendant deux semaines à mon retour», se souvient-elle. «Je ne peux même pas imaginer que des soldats de retour après plusieurs années là-bas puissent s’en remettre ! Et puis, l’Irak est un pays fascinant à tellement d’égards que c’est très dur d’en revenir. Les règles sont complètement différentes. Chez nous, si vous tuez quelqu’un, vous allez en prison. Là-bas, si vous tuez quelqu’un, on vous remet une fichue médaille !» Après son intrusion temporaire dans le cercle des «warbloggeurs» (bloggeurs de guerre), Jane Stillwater a continué son exercice quasi-quotidien d’écriture, sur un mode qu’elle affectionne particulièrement : la révolte permanente vécue comme un véritable sacerdoce. «Ça se rapproche pas mal d’une thérapie, une manière de faire sortir ma colère sur le gaspillage et l’injustice dans ce monde».
«Au moins, j’ai essayé» Sur son blog sans artifice graphique, les commentaires postés sont souvent très tranchés : certains voient en elles une nouvelle icône, tandis que d’autres la prennent pour une folle. Peu lui importe, elle oppose aussitôt un contre-argument de taille : «Ce n’est pas ma faute, si j’ai raison !» Malgré sa popularité acquise lors de sa mission irakienne, elle redoute toujours de ne pas être entendue. «Quand je vois que chaque Américain n’est pas encore en train de manifester devant la Maison-Blanche pour demander que Bush et Cheney arrêtent de se comporter comme des parrains de la mafia, je me dis que je ne suis pas encore assez lue !» Du bout des lèvres, elle avoue songer à mettre son blog entre parenthèses un certain temps pour travailler dans une ONG.
Découragée ? «Parfois, je me sens parfois et je me dis que mes sept années de bloggeuse depuis l’élection usurpée de Bush n’ont servi à rien. Dans ces moments-là, je me souviens que je fais ce blog pour moi. Pourquoi ? Parce que quand je mourrais, j’ai envie d’aller au Paradis, et je veux pouvoir dire : «au moins, j’ai essayé». Je veux pouvoir dire que j’ai résisté et qu’ils ne m’ont pas eue !» Et de conclure, à nouveau combattive : «Jamais, je n’arrêterai d’être une blogueuse.»
Quel parcours a cet homme ! Moi, il me touche et j'ignore pourquoi..D'ailleurs, je ne cherche plus :-)
Calvin Russell Live in Lyon (France) 1995 I gave My Soul To You - DREAM OF THE DOG - 1995
Né en 1948 à Austin, Texas, Calvin Russell est un guitariste de rock et blues américain
Biographie Sixième d’une famille de neuf enfants, Calvin Russell passe ses cinq premières années quasiment derrière le comptoir du Sho Nuff Café, où son père Red fait la cuisine et où sa mère Daisy est serveuse. A douze ans, Calvin se met à la guitare et bientôt rejoint son premier groupe, The Cavemen. La rue devient son univers, il commence à fumer, à boire et à glander. A quinze ans, il fugue à San Francisco et survit sur la route grâce à de petits boulots : plombier, charpentier, magasinier, et se retrouve plusieurs fois incarcéré pour des délits mineurs d'adolescent.
Réfractaire au modèle américain de la réussite financière et sociale, il se marginalise et vend de l’herbe pour subsister. Arrêté plusieurs fois, il passe une dizaine d'années derrière les barreaux. A la sortie d'un de ses habituels séjours en prison, il se lance dans un périple à travers le Grand Sud et traverse le Rio Grande à Piedras Negras et El Paso. C’est là qu'il commence vraiment à écrire des chansons et à chanter de ville en ville. Il vit en vagabond, mais se fait prendre par les autorités du Nouveau-Mexique, durant l'hiver 1985, avec de l’herbe américaine plein les poches. Inculpé pour importation frauduleuse de stupéfiants il repasse un an et demi dans les geôles du gouvernement mexicain.
Lorsqu’il revient à Austin en 1986, il s'installe dans un trou à rats sous une maison de Patterson Avenue dans le vieux Clarksville, et traîne dans un milieu marqué par l’alcool et la drogue. Il côtoie de nombreux musiciens aussi doués que marginaux, parmi lesquels le légendaire Townes Van Zandt, Willie Nelson ou Leon Russell.
Trois ans plus tard, il fait la rencontre de Patrick Mathé. Habitué d'Austin, où il se rend trois ou quatre fois par an, celui-ci est invité par hasard en décembre 1989 à la soirée d'anniversaire d'un musicien local au Continent Club. C’est comme cela que New Rose publie A Crack In Time début 1990. L’accueil est excellent et Calvin commence à venir en France pour assurer sa promotion.
L’année suivante, il persiste et signe avec Sounds From The Fourth World, album de la consécration, également enregistré à Austin avec Joe Gracey. Calvin commence à tourner beaucoup en France, remplissant les clubs, alors qu'au Texas on l’ignore toujours. De nombreuses pages de journaux sont consacrées là-bas à l’étonnante aventure de sa carrière européenne, mais sans profit pour sa musique.
En 1992, Calvin Russell revient sur le devant de la scène avec Soldier . Dans le prolongement des deux albums précédents, il l’enregistre encore aux Studios Arlyn, mais la production se fait cette fois sous la houlette de Jim Dickinson, empereur du Memphis Sound qui a travaillé avec Ry Cooder et les Rolling Stones.
Début 1994 paraît Le Voyageur, album live enregistré à l’Olympia, l’Elysée-Montmartre, l’Exo 7 à Rouen et le Zig-Zag à Orléans, reflet d’une tournée marathon dans laquelle Calvin Russell a donné en un an 178 concerts en Europe.
En 1995 sort le très acclamé "Dream Of The Dog", tournant dans sa carrière. Dream Of The Dog est le titre d’une vieille légende indienne. La pochette, qui reproduit les dessins d’une couverture indienne, révèle les origines Comanches de Calvin, certains des symboles étant originaires de la tribu de son arrière grand-mère.
L’album suivant «Calvin Russell», (enregistré et mixé à Memphis), est résolument blues et comble à la fois ses fans et les puristes. Pour souffler avant de préparer le prochain, c’est un best of que propose Calvin Russell avec This Is My Life, qui comporte cependant trois nouveaux titres : " Forever Young ", " Texas Song " et " It’s All Over Now ".
Alors que paraît "This Is My Life", au hasard d’un arrêt dans une station-service au Texas, son passé d’adolescent resurgit avec violence. Un policeman remarque la saleté des vitres de sa voiture et lui demande d’en descendre. Quand il découvre qu’il se trouve face à un ancien prisonnier, il appelle les maîtres-chiens par radio. Ils trouvent son herbe. Son passeport est confisqué, et cette peccadille risque d’entraîner l’annulation de tous ses sursis, et dix années de prison. Finalement les choses s’arrangent, avec une mise en liberté semi-surveillée sous réhabilitation.
Discographie 1990 : "A Crack In Time" 1991 : "Sounds From The Fourth World" 1992 : "Soldier" (New Rose) avec Luther et Jim Dickinson 1992 : "This is your world" (New Rose - CD 4 titres) 1994 : "Le Voyageur" (live) 1995 : "Dream Of The Dog" 1996 : "Calvin Russell" 1997 : " This Is My Life " (compil) 2000 : "Crossroads" (live) 2001 : "Rebel Radio" 2005 : "In Spite of it All"
Inventions farfelues peut-être mais j'adore l'idée du beurre en bâton, style stick Uhu !:-)
Les inventions de monsieur Kawakami
par Dorane Vignando
Défense et illustration de l'inutile par un Japonais aussi ingénieux qu'excentrique : L'absurde a fait du Japonais Kenji Kawakami, 50 ans, une star au pays du Soleil-Levant ».
Il dit : «Seule une âme libre peut créer des choses stupides et folles. Nous, les enfants du XXe siècle, jouissons du luxe de pouvoir construire ce dont nous ne pouvons pas nous servir.» Ce drôle d'olibrius aux multiples casquettes - diplômé en aéronautique, scénariste de dessins animés, militant anti-karaoké, anarchiste antimondialiste et directeur d'un magazine de consommation - est aussi le fondateur du mouvement Chindogu, signifiant littéralement « outil bizarre ».
Dans la préface de son croustillant premier ouvrage (1), le maître inventeur s'explique : «Les chindogu sont des inventions qui à première vue devraient énormément nous simplifier la vie, mais en fait n'en font rien. L'adepte du chindogu aborde les choses avec à peu près la même optique qu'un inventeur sérieux : il cherche à améliorer un aspect de la vie quotidienne. Mais, à la différence du véritable inventeur, le chindoguiste va fabriquer un prototype qui semble à première vue efficace, mais ne l'est pas. Après l'avoir testé et constaté qu'il ne sert à rien, son créateur se félicitera d'avoir réussi à créer un objet inutile.» Ainsi, ses centaines d'innovations représentent-elles le must absolu dans l'autodérision, surtout dans un pays réputé pour sa passion des gadgets et où les excentriques sont légion.
Voici entre autres les chaussons-serpillières pour chats, qui, placés sous les pattes des félins, leur permettent de faire briller le sol de la maison, le pack d'imperméabilisation pour journaux afin de lire dans son bain, la brosse à dents à double tête (pour brosser simultanément le haut et le bas), le beurre en bâton de colle (pour des tartines parfaites), le chapeau pour rhume agrémenté d'un grand rouleau de papier toilette, la cagoule pour poissons (pour cuisinier hypersensible). Sans oublier le parapluie pour chaussures, la fourchette enrouleuse de spaghettis, les faux ongles à ronger ou le masque gros fumeur permettant d'inhaler quatorze cigarettes en même temps...
Six cents inventions plus tard, sa renommée ne connaît plus de frontières. Son organisation, la Chindogu International Society, regroupe près de 10 000 adeptes à travers le monde. Elle a énoncé un code de l'éthique avec dix grands principes à respecter : les trouvailles ne doivent être d'aucune utilité, faire partie des objets du quotidien, ne pas reposer uniquement sur l'humour, n'offenser personne, et surtout n'être ni vendues ni brevetées.
Depuis ses débuts, les cinq livres sur la science de l'inutile de Kenji Kawakami sont devenus de véritables best-sellers au Japon. Lorsqu'il passe à la télévision, des millions de téléspectateurs attendent avec impatience de découvrir sa dernière lubie. Dernièrement, il a ainsi mis au point un coffre-fort à vingt chiffres dont la combinaison est si longue qu'il faudrait 160 fois la durée de l'Univers pour la déchiffrer. «Un vrai casse-tête à la fois pour l'acheteur et pour le voleur», explique Kawakami avec ironie.
Dans une interview sur le Net, il n'hésite pas à comparer son mouvement avec la révolution industrielle en Angleterre. «La seule différence, c'est que nos inventions sont plus désavantageuses. Elles ne peuvent être commercialisées. Et ne vivent que pour rester à l'abandon.»Lorsqu'il ne crée pas, Kawakami écrit sur des questions d'actualité. Ou invente des produits qui ne sont pas des chindogu. Comme un DVD en 3D destiné à la relaxation visuelle. «Une sorte de tai-chi pour les yeux», dit-il.
Restent ses gadgets géniaux et idiots, une forme réjouissante d'anticonsumérisme dans une époque régie par la course à la technologie.(1)
« 101 Inventions japonaises inutiles et farfelues », par Kenji Kawakami, (Vents d'Ouest).
Les 38èmes Rencontres de la photographie d'Arles, qui vont transformer pendant tout l'été la cité provençale en capitale mondiale de la photographie, ont débuté mardi 3 juillet.
Une cinquantaine d'expositions, disséminées dans toute la ville, ont été officiellement inaugurées lundi après-midi. Jusqu'à dimanche, la semaine professionnelle des Rencontres d’Arles proposera vernissages, colloques, spectacles ou encore dédicaces. Le festival est ouvert au public du 3 juillet au 16 septembre.
L’agence Magnum à l’honneur
Pendant tout l'été, le public pourra découvrir des dizaines d'expositions dans une vingtaine d'endroits différents de la ville, dont ses anciens ateliers SNCF, ses églises et son théâtre antique. Le programme de l'édition 2007, après avoir été "So French" en 2006 avec Raymond Depardon, se tourne cette année vers le grand large avec la Chine et l'Inde. L'agence Magnum, dernière agence internationale indépendante qui fête cette année ses 60 ans, sera à l'honneur, avec les polaroïds des grands noms du jazz pris par Pannonica de Koenigswarter et les portraits officiels de la reine d'Angleterre.
Expositions autour de la Chine
La Chine sera ainsi représentée à travers quatre expositions autour du quartier pékinois de Dashanzi. L'Inde propose quant à elle un état des lieux de sa création photographique contemporaine. "Le lien qui unit la programmation est celle de la liberté de ton, celle pour les Chinois de s'exprimer, celle des Indiens et leur timidité à le faire, celle de montrer des photos familiales ou des albums privés", a indiqué le directeur des Rencontres, François Hebel.
Dans ce tourbillon d'expositions, l'amateur pourra également visiter l'Arménie et la Patagonie, s'amuser des pseudo-portraits officiels consacrés à une "Madame la présidente", découvrir de jeunes photographes nominés pour le prix des Rencontres avant que de partir débattre lors d'un colloque sur le marché de la photographie.
En 2006, les Rencontres avaient attiré 52.000 visiteurs (dont 20% d'étrangers), un nombre en hausse de 50% par rapport à 2005. Le festival dispose en 2007 d'un budget de 3,6 millions d'euros. Son financement provient à 30% de ses ressources propres, 26% de partenaires privés et 44% de partenaires publics.
Lorsque j'étais enfant, le mot " espadrille" me faisait dresser les cheveux sur la tête ! A l'époque, il était synonyme de semelle de corde et d'une " chose " informe , molle et peu pratique pour marcher ..
Le concept a évolué et suivi les humeurs de la mode .. Admirez les nouveaux modèles sur :
Mon amour, Tu ne peux pas savoir à quel point j'ai hâte de te retrouver en Bretagne. a quel point j'ai hâte de découvrir les paysages de ton enfance, et tous les sentiers où, été après été, tes seins ont poussé. Et dire que je vais enfin rencontrer tes parents ! Ce sera si joyeux, et nous boirons du cidre à n'en plus finir ! J'ai tellement l'impression de les connaître depuis le temps qu'ils vivent dans nos conversations. Et je sais que c'est important pour toi, que c'est une véritable étape dans notre belle histoire. Je suis bien désolé d'avoir dû rester ici pour mon travail. Mais ne t'inquiète pas pour moi, l'ambiance est beaucoup plus détendue qu'à l'habitude. Hier soir, nous sommes sortis tous ensemble dans un pub. Tu vois, c'est quelque chose qu'on ne fait jamais pendant l'année. Enfin, je ne sais pas trop ce que font mes collègues le reste de l'année, car je passe tout mon temps avec toi. Nous sommes si bien tous les deux, ah... Parfois, c'est un peu silencieux, mais cela repose tellement de la frénésie de la journée. En tout cas, c'était agréable de varier un peu le programme. Ce 25 juillet m'est subitement apparu comme une météorite de beauté, la lumière frôlait la blancheur. Paris sans les Parisiens, c'est vraiment une ville exceptionnelle. On devrait partir un jour ensemble en vacances à Paris ! Les passants sont très détendus, les voitures roulent facilement, les femmes marchent lentement. Je dois t'avouer que l'ensemble forme une vision assez sensuelle. On croise partout des touristes, on entend de l'allemand, de l'anglais, de l'italien, si bien que le français devient une langue exotique. D'ailleurs, pour prolonger cette impression, nous avons bu des mojitos. Cela faisait longtemps que je n'avais pas autant bu. Pour une fois que tu n'étais pas là pour me dire d'arrêter de boire, j'en ai profité ! C'était vraiment une soirée magique. Il y avait les deux jeunes stagiaires, Pamela et Lolita, quelle énergie de vie ces filles ! L'été, c'est le royaume des étudiants. On leur laisse la place, ils apprennent ce que nous voulons oublier. À un moment, Pamela est montée sur la table, elle levait les bras, et vraiment elle avait de superbes aisselles. J'ai pensé que tu devrais te raser plus souvent sous les bras. Tu vois, j'ai pensé à toi, même au coeur de la nuit, pendant l'ivresse. Tu l'aurais sûrement trouvée vulgaire cette fille, tu es parfois un peu rabajoise ma chérie. Moi, j'ai aimé sa façon de faire la folle, alors que le reste de la journée, elle joue à la fille sage. J'ai vraiment beaucoup ri, et je trouve que nous ne rions pas assez tous les deux. Cette soirée, c'était comme un voyage, un véritable nectar d'évasion. J'ai pensé qu'il était parfois bon, dans les couples, de se séparer un peu. De respirer l'un loin de l'autre. Les derniers temps ont été étouffants entre nous, et je peux te le dire maintenant : j'ai voulu rester à Paris pendant les vacances. Je n'arrivais pas à te l'avouer, mais je voulais prendre des vacances de toi. Et ta famille, non, vraiment. Je ne supporte déjà pas la mienne, alors je ne vais pas me coltiner la tienne pendant les vacances. Quant à la Bretagne, tu ne peux pas savoir comme ça m'angoisse. Je hais le cidre, autant boire du jus de pomme. Et ce côté, « on met des bottes pour marcher », ça me dégoûte. J'aime avoir les pieds libres en été. Bon voilà, c'est dit. Je ne vais pas te rejoindre finalement, et il est peut-être préférable que nous nous quittions. Passe de bonnes vacances, et embrasse tes parents. David David Foenkinos(lefigaro.fr)
... enthousiaste malgré le J-2 de mon anniversaire !:-)
Hier soir, dîner au bord de l'eau : cadre enchanteur !Le soleil couchant , les bateaux à voiles et le clapotis de l'eau brossée par un vent violent ..Repas honnête et belle compagnie..Une pleine lune de carte postale..Une belle soirée !
Boudi ! Cette semaine en célébrations de pré-anniversaire , d'anniversaire puis de post-anniversaire va s'avérer redoutable pour mes lignes déjà courbes :-))
Djura, c’est d’abord une présence. Enveloppante. Maternelle. Comme ces arbres dont on sent qu’ils ne plient pas sous la tempête. Djura, c’est aussi une générosité presque légendaire, un cœur énorme tout droit venu des montagnes de Kabylie. De ces hauteurs algériennes sont sorties ses premières vocalises, lorsqu’elle voulait appeler une amie située sur la montagne en face. « C’est le cri que je pousse lorsque je monte sur scène » explique-t-elle. Car cette femme a décidé de porter haut son message, légué par sa grand-mère: « Elle me disait: « Ma fille, nous ne sommes là que pour transmettre ». C’est-ce que je fais, je transmet des valeurs féminines, des valeurs de douceur, de paix et de courage dans mes chansons. Les combats perdus sont ceux que l‘on a abandonnés. Nous, on n‘abandonnera jamais!» Pour elle, les femmes sont le sexe fort, la moitié du ciel, les piliers du monde. Alors elle a décidé de les défendre, de lutter contre l’oppression masculine, de mener sa vie comme elle l’entend. Mais surtout sans se taire, sans se couper des autres. Sa vie est un combat rudement mené. Venue en France à l’âge de cinq ans, elle découvre la banlieue parisienne, ces ghettos où, pour lutter contre le déracinement, on durcit encore plus les règles qu’il y avait au pays. Sa famille à elle ne fera pas exception: elle lui interdit de monter sur le planches, son rêve de petite fille. Mais Djura n’est pas femme à courber l’échine. Elle devient cinéaste. Puis se tourne vers la musique pour chanter ses valeurs humanistes. Des années plus tard, elle sera victime d’une expédition punitive, menée par les hommes de sa famille pour la punir d’avoir eu un enfant avec un français. De cette blessure, de cette souffrance, naîtra un livre: « Le voile du silence », puis un autre « la saison des narcisses ». Tous les deux best-sellers. Djura fut une pionnière: elle a créé le premier groupe féminin et féministe: Djurdjura. Pour faire passer son message, elle travaille la forme, choisit de fusionner tradition et modernité, prend ce qu’il y a de plus riche dans la musique traditionnelle et la fait évoluer. « J’ai même intégré du slam et de la musique éléctro dans mes spectacles. Il faut absolument ne pas se couper des jeunes générations » assure-t-elle. La Dame de Kabylie a récemment été décorée de l’Ordre du mérite et de la Légion d’honneur. De la fierté? Non, elle apprécie juste cette forme de reconnaissance: « Pour moi, les médailles sont au fond de mon cœur et dans les valeurs que je véhicule …» Ce qu’elle aime en revanche, c’est être un modèle pour la population maghrébine. Des projets? Par centaines. Elle souhaiterait notamment refaire un ou deux longs-métrages. Un opéra aussi peut-être. Et sourit en avouant qu’elle aurait adoré travailler avec Bjork: « Je crois que c’est un ange, elle n’est pas d’ici. Elle semble très qualifiée pour aller dans les mondes supérieurs et j’aime bien ça! » tdg.ch
Hier - au restaurant - j'ai de nouveau été confrontée à une tendance qui m'agace bougrement : l'utilisation abusive d'épices en décoration d'assiettes ! Notre cuistot d'hier était un fanatique du paprika : de la poudre brune tout autour de chaque assiette ! Or le paprika est une épice forte, au goût typé et prononcé, à n'utiliser qu'avec parcimonie !..
Ma belle assiette de salade composée en a été détruite : lit de salade verte à l'huile de noix + noix + 2 fromages de St Marcellin grillés..
Quelle mouche a piqué le cuisinier d'y ajouter cette épice qui n'avait rien à y faire ? La véritable saveur des mets présentés n'était-elle pas suffisante ?
Idem pour l'assiette suivante: côtelettes d'agneau servies avec une ratatouille provençale et du gratin dauphinois ..Le paprika avait volé partout et le goût simple des mets en était transformé voire couvert !
Avez-vous pris connaissance du "fait-divers" cité en fin d'article ? J'en suis restée estomaquée, le coeur battant ! Cela me rappelait de bien vilains moments ! Lorsque j'ai dû partir en toute hâte de chez moi, les agences immobilières auxquelles je m'adressais pour trouver rapidement un toit, demandaient la signature de mon mari comme cautionneur ! sympa pour moi qui cherchais justement à ne pas faire connaître mon adresse !:-))
Hallucinant !
La condamnation de cette femme est une ignominie !
La violence conjugale n’est pas qu’une affaire de chiffres, mais ce sont les chiffres qui en parlent le mieux. Depuis la simplification, il y a quatre mois, de son numéro d’appel, le service Violences conjugales Info a enregistré 7446 appels, soit une moyenne de 80 appels par jour. Mais ce sont en réalité 200 appels qui parviennent quotidiennement au 3919 sans pouvoir être tous traités.
Lancé à grand renfort d’une campagne de communication télévisée le 14 mars, le numéro à quatre chiffres avait d’ailleurs été saturé dès le premier jour, avec plus de 800 appels. Un "succès" qui révèle l’ampleur d’un grave problème de société, sujet de polémique électorale après qu’aient été révélés les chiffres officiels pour 2006 de la violence conjugale: 168 personnes, dont 137 femmes, sont décédées cette année-là en France sous les coups de leur compagnon ou compagne, soit une femme tous les trois jours.
Faute de places, les listes d’attente s’allongent
Xavier Bertrand, ministre du Travail, des Relations sociales et de la Solidarité, s’est rendu le 25 juillet avec la secrétaire d’Etat en charge de la Solidarité, Valérie Létard, dans les locaux du centre d’appel, à Paris, où il a rencontré la dizaine d’écoutantes du 3919. Conscient de l’insuffisance des moyens mis en œuvre, le ministre a annoncé l’installation de 8 antennes départementales* à partir du 1er août 2007, dont l’expérimentation fera l’objet d’une évaluation pour le début de l’année 2008.
L’occasion aussi de faire un bilan plus global de l’ensemble des besoins des associations qui assurent le suivi des femmes battues, ainsi que de la mise en place concrète de la loi du 4 avril 2006. Les principales mesures de cette loi visent en effet à mieux protéger les femmes des violences à leur encontre, notamment en élargissant le champ d’application de la circonstance aggravante, qui s’étend désormais à de nouveaux acteurs (pacsés, "ex") et à de nouvelles infractions (meurtres, viols, agressions sexuelles). La loi est également censée faciliter l’éloignement de l’auteur de l’infraction du domicile de la victime.
Car le 3919 n’est que le premier maillon d’une chaîne censée accompagner et protéger les femmes victimes de violences conjugales. Dispositif d’écoute anonyme et confidentiel, il permet d’informer les femmes de leurs droits et de les orienter vers les structures appropriées, qu’il s’agisse de lieux d’accueil et d’hébergement d’urgence ou de services judiciaires. Et c’est là que le bât blesse. En 2006, les associations regroupées au sein de la Fédération nationale solidarité femmes (FNSF), qui, depuis près de 15 ans, assure une écoute téléphonique aux femmes victimes de violences et gère la nouvelle plate-forme téléphonique, ont assuré le suivi de 38 000 femmes, mais seules 4500 ont pu être hébergées. Faute de places, les listes d’attente s’allongent. Quant aux recours judiciaires, ils semblent inadaptés à la complexité des dossiers.
Victimes perdues dans un dédale de lois
"C’est une question de choix politique, affirme Marie Bellanger, responsable du service Violences conjugales info. Cela ne sert à rien de multiplier les lois. Ce qu’il faut, c’est tout remettre à plat, instaurer des passerelles entre les juridictions, former magistrats, avocats, médecins, à la problématique complexe de la violence conjugale". Elle déplore notamment "l’incohérence quotidienne entre les procédures civiles et les procédures pénales de sanction en cas de violence". "Lorsqu’une femme battue porte plainte, explique-t-elle, l’affaire passe en correctionnelle et la justice prononce l’éloignement du conjoint. Le couple entame ensuite une procédure de divorce, et se retrouve devant le juge aux affaires familiales qui octroie un droit de visite au père, mettant donc à nouveau en danger la mère et les enfants. Chaque procédure en annule une autre et les victimes, elles, se perdent dans un dédale de lois!" A titre d’exemple, Marie Bellanger rappelle le cas de l’association dunkerquoise Sedire, assignée en justice pour avoir hébergé, à l’insu de son mari, une femme victime de violences conjugales et ses enfants. L’association, représentée par la FNSF, a été relaxée, mais la femme a été condamnée le 26 juillet à trois mois de prison avec sursis et 800 euros de dommages et intérêts pour "soustraction d’enfants".
* Les antennes seront localisées à Dunkerque, Saint-Etienne, Montpellier, Aix-en-Provence, Rennes, Angoulême, Verdun et Bastia
A quelques kilomètres de la jolie petite cascade de Montfermy, sur la commune de Chapdes-Beaufort, il existe un parcours de petite randonnée unique en son genre: le chemin Fais'art. S'il mérite le détour, ce n'est pas tant pour les quelques vestiges dont le site est parsemé - ici un tumulus gaulois, là les ruines du château médiéval de Beaufort - mais pour l'oeuvre de Gilles Perez: une vingtaine de sculptures monumentales en pierre volcanique de Volvic, posées comme des évidences dans ce paysage des Combrailles. Une impressionnante galerie d'art grandeur nature, entièrement gratuite, mais qui - pourvu que ça dure - n'attire pas des hordes de touristes.
Parcours : A partir du centre de Chapdes-Beaufort, suivre la direction de Pulvérières (D 575) sur 1,8 km. Garez-vous sur le parking, 300 m après l'indication Fais'art. Un plan sommaire, mais bien pratique pour repérer les oeuvres, est disponible à la mairie ou chez Gilles Perez (à l'autre bout du parcours, en voiture, du centre de Chapdes-Beaufort, prendre la direction du Chateix, c'est la première maison à droite). Le sculpteur peut également servir de guide aux groupes (60 €). Durée: 2 heures, davantage si on s'égare (il est d'ailleurs conseillé de se perdre!).
Dans la clairière, le long du parcours ou à l'écart, dans les sous-bois, se succèdent plusieurs modèles de cages - une «obsession», pour l'artiste - une gigantesque spirale, 12 sièges disposés en cercle - idéal pour un petit pique-nique à l'abri du soleil - un anneau d'une dizaine de mètres de diamètre calé dans la pente qui surplombe le chemin, menaçant le passant... Sur ces incroyables installations et sur les pierres qui balisent le chemin, des motifs, runes énigmatiques, évoquent l'univers du Seigneur des anneaux. «Chacun y voit ce qu'il veut», observe Gilles Perez, la moustache rieuse, qui préfère laisser le promeneur raconter sa propre histoire. L'express
L’art fait son chemin :
L’aventure a commencé il y a treize ans à Chapdes-Beaufort, initiée par Gilles Pérez, sculpteur, et son épouse Colette, préparatrice en pharmacie. L’idée est née lorsque le chemin menant sur les ruines d’un château (à l’emplacement de la Vierge de Beaufort) a été rénové : voyant que les murets encadrant le chemin étaient supprimés, le sculpteur s’est dit : “ Puisqu’on fait tomber les murs, pourquoi ne pas essayer de restituer autrement la pierre dans le paysage ? ”... Et l’association Chemin “Fais’Art” a été créée afin d’entretenir les environs comportant des vestiges historiques de diverses époques, et d’y mêler des sculptures.
Cette association entre dans le cadre du PDI du Puy-de-Dôme, Gilles en est salarié à mi-temps comme chef de chantier, et Colette, parallèlement à son travail, participe bénévolement aux tâches administratives. Depuis 1992, six à huit personnes ont été employées en CES tous les ans, provenant d’horizons divers et ne connaissant pas forcément le travail d’aménagement de lieux naturels ou celui de la taille de pierre. Gilles se charge de leur formation quand cela est nécessaire et propose l’idée de départ des sculptures, qui par la suite prennent forme lors d’un travail souvent collectif. L’entretien du site représente une part non négligeable du travail, mais ce chantier permet aussi un investissement artistique fort, puisque confronté a un public très large.
On ne joue décidément pas dans la même cour !Je me pose encore et toujours la même question : comment ces types peuvent-ils comprendre ce que nous vivons au quotidien , ce que vit la " génération 1000 euros " ?
Le Point : « Un appartement de 240 mètres carrés sur deux niveaux au sein d’un hôtel particulier de la place des Vosges, à Paris, vient de trouver de nouveaux acquéreurs. Il s’agit de Dominique Strauss-Kahn et de sa femme Anne Sainclair. Le prix de la transaction s’éléverait à plus de quatre millions d’euros. Le candidat à la présidence du F.M.I. aura pour voisin Jack Lang, propriétaire depuis 1984 de 165 mètres carrés donnant sur l’ancienne place Royale.>>
Hier matin, 2 villages médiévaux dans la foulée : Pérouges et Crémieu . Ca monte, ça descend, ça tourne, ça contourne.. Bref, j'avais les genoux sous les omoplates à midi !
Une bière fraîche et un délicieux repas sous la Halle de Crémieu plus tard, retour chez moi pour une sieste bienfaisante..
Belle journée - une de celles qui vous font penser que la vie est belle !
Bon ! J-3 pour mon anniversaire et ça, c'est moins réjouissant :-))
En février 2007, un grand concours d'architecture a été lancé pour la conception du T8, un immeuble mixte alliant habitat et commerces, dans la ZAC Paris Rive Gauche, un quartier en pleine restructuration à Chevaleret - Tolbiac, dans le XIIIe arrondissement. Le projet a suscité des propositions des plus ambitieuses. Le Pavillon de l'Arsenal présente, du 12 juillet au 9 septembre, les 6 projets retenus, dont celui du lauréat Rudy Ricciotti (ci-dessus), désigné le 21 juin.
Le projet de Rudy Ricciotti est celui qui a retenu l'attention du jury pour son originalité. Tout en étant ambitieux en terme de Haute Qualité environnementale, son architecture inventive est respectueuse du contexte urbain environnant. La façade de verre translucide du bâtiment de Ricciotti, à peine filtrée par un "habit" de bois, s'illuminera la nuit, participant ainsi à l'originalité du paysage nocturne de l'avenue de France voir les autres projets sur : http://www.linternaute.com/paris/magazine/exposition-t8-au-pavillon-de-l-arsenal/commerces-et-habitats.shtml
Agrandie et transformée, la maison de Champollion s'ouvre sur la préhistoire pour finir avec l'informatique, en passant par les principaux foyers qui ont vu naître dans le monde le langage écrit et l'alphabet.
« JE couche deux ou trois fois par semaine sur l'inscription de Rosette. Je n'ai jusqu'ici gagné que des maux de tête et 2 ou 3 mots ! » Cet extrait d'une lettre de Jean-François Champollion à son frère, en juin 1814, est une des citations que l'on peut lire dans la première salle du nouveau musée de Figeac qui rend d'abord hommage à son inspirateur.
Dans un cadre tapissé de verre noir percé de fenêtres lumineuses à l'intérieur desquelles apparaissent portraits, brouillons et notes, on prend la mesure de la ténacité de ce savant génial. Car c'est à partir d'une pierre trouvée en 1799 à Rosette, dans le delta du Nil, qui comportait le même texte en grec, en écriture démotique (cursive) égyptienne et en hiéroglyphes, qu'il tâtonna, devina et finit, au bout de vingt ans, par comprendre le mystère de ces étranges petits dessins qui recouvrent tous les monuments pharaoniques.
A l'instar des salles suivantes, cette première pièce, installée dans ce qui fut la maison natale de Champollion, mêle explications sérigraphiées sur les parois de verre laissant voir en transparence la pierre blonde du Quercy, et objets présentés dans des vitrines centrales.
On aurait évidemment aimé y voir la fameuse « Pierre ». Mais le British Museum ne la prête jamais. C'est donc un fac simile qui est présenté. Mais d'autres pièces sont authentiques comme le Livre des Morts d'une musicienne d'Amon, inscrit sur une bandelette de lin de 8 mètres de long, des stèles inscrites et une momie, propriété du musée, dont les bandelettes portent des hiéroglyphes.
L'évolution des mots-signes : On entre ensuite dans le vif du sujet avec la salle des questionnements où des bornes multimedia dialoguent avec des textes et des signes sérigraphiés. Quand commence l'écriture ? Quelles signalétiques peuvent être qualifiées d'écriture ? Quelle différence y a-t-il entre les systèmes pictographiques, logographiques, syllabiques, consonantiques, alphabétiques ?
Deux salles, fascinantes, sont consacrées aux quatre premières écritures connues du monde : les hiéroglyphes et l'écriture cunéiforme de Mésopotamie, d'abord, apparues à peu près en même temps au IVe millénaire avant notre ère. Le chinois (XVIe siècle av. J.-C.) et le maya (IXe siècle av. J.-C.) ensuite. Dans chacune, pictogrammes, logogrammes et idéogrammes se complètent, chaque mot étant un signe et inversement. On y voit l'évolution des mots-signes à travers le temps, allant d'une représentation figurative vers une abstraction toujours plus grande. La plus complexe demeure le maya, toujours en cours de déchiffrage. Cette langue combine autour d'une racine, un préfixe, un suffixe, un postfixe, un infixe et un superfixe qui confèrent une rare complexité à chaque dessin. Une copie du code d'Hammourabi conservé au Louvre, la plus ancienne tablette gravée en cunéiformes de Sumer, des palettes de scribe, une copie du Codex maya dit « de Paris » et un fac simile de la « stèle de Hauberg » conservée à Princeton, illustrent ces deux salles essentielles.
3 300 cunéiformes, 3 200 hiéroglyphes...
Puis vient la Révolution alphabétique.
Elle se produit à peu près en même temps, il y a 3 000 ans, chez plusieurs peuples du Moyen-Orient et va gagner le monde. Face à 3 300 cunéiformes, 3 200 hiéroglyphes, et 3 000 signes chinois, il suffira désormais de 22 à 30 signes phonétiques pour tout dire, tout écrire. On assiste alors à un foisonnement d'écritures qui deviennent parfois sujet et même objet d'art, comme c'est le cas avec les caractères coufiques ornant de merveilleux plats arabes ou les enluminures des textes sacrés des religions monothéistes.
L'autre révolution sera celle du Livre, suivie de l'imprimerie, du papier et de l'informatique. Illustrées de vidéos et de jeux tactiles, ces inventions nous font entrer dans le monde de la diffusion, avant que le musée ne s'achève par une salle originale. Intitulée « Écriture, pouvoir et citoyen », elle aligne des vitrines à volets qui illustrent quelques unes des fonctions principales de l'écrit : actes de pouvoir, dont le sceau de la Ville de Figeac, un des plus vieux de France daté de 1302, textes administratifs, journaux, manuscrits d'auteurs...
Le musée démarre avec 600 pièces, dont la plupart acquises grâce à une subvention publique de 160 000 eur pendant six ans, ou des prêts, surtout du Louvre et de la BNF. Soixante-dix sont des fac simile. Et certains le sont par choix. «Face au pillage archéologique de l'Amérique latine, explique Mme Pottier, c'est volontairement, pour éviter un néfaste appel d'air, que j'ai fait copier par des artistes chevronnés, les textes et les poteries mayas que je présente.»
Musée des Écritures du Monde, 46 100 Figeac. Tél. : 05 65 50 31 08.
... délicieuse ! J'ai dormi en pointillés mais la journée d'hier fut sublime : grand soleil et belle compagnie . Un de ces moments qu'on savoure silencieusement.. Repas dans l' Ain, dans le village natal de ma mère.. Sous les grands platanes, terrasse noire de monde et douceur du soir.. Parmi les clients, des phénomènes , des surprenants, des bizarres, des drôles..Les paysans du coin côtoyaient des couples élégants.. http://www.auberge-du-mail.com/
Ce matin, direction Pérouges, cité médiévale de l'Ain, une petite merveille où il fera bon marcher .. Ombre et lumière mêlées mais pavés en " tête de chat" monstrueux pour les voûtes plantaires ! :-)
Article de tdg.ch Malouma est mauritanienne. Après 10 ans d'exclusion des médias de son pays, la chanteuse est devenue sénatrice. Et peut maintenant combattre concrètement les discriminations que subissent ses compatriotes féminines. Malouma est très fatiguée ce mercredi soir. Dans la moiteur de sa loge-portacabine à Paléo, elle accepte de répondre à quelques questions avec le sourire, malgré tout. Le festival et son ambiance insouciante contrastent avec son invitée. Car la chanson, pour cette Mauritanienne, n’est pas uniquement synonyme de joie. Au travers de sa musique, elle dénonce les injustices sociales, promeut la paix, parle de la condition des femmes. Un combat qui lui a valu dix ans d’exclusion des médias mauritaniens, de 1992 à 2002. Ses chansons n’ont donc pas été diffusées par les radios mauritaniennes durant cette période. Une mise à l’écart qui lui a assuré un grand succès dans les autres pays arabes et ailleurs. «Je suis musicienne, lance-t-elle. Je compose et écris les paroles de mes chansons. Mon but est d’être reconnue à un niveau international. Pour que le monde entier parle de ce que fait une femme mauritanienne. C’est déjà une façon de mettre en valeur les femmes dans mon pays, et les femmes africaines en général.»
La chanteuse ne cherche pas seulement à sensibiliser les hommes à la question de l’émancipation des femmes, mais surtout les femmes elles-mêmes. «Le problème, c’est que parfois les femmes ne souhaitent pas faire progresser leur propre statut. Elles ont des droits, mais n’en font souvent pas usage. Mon combat est aussi celui de les pousser à participer à cette société moderne. Mais avant tout, de les inciter à se libérer de la dépendance économique de l’homme. C’est le point de départ de la libération des femmes.»
Pour une loi sur la scolarisation des femmesLa période de mise au ban de Malouma est terminée. En janvier dernier, elle est devenue sénatrice dans son pays, et peut maintenant agir concrètement en faveur des femmes. Et il y a de quoi faire : gavage des jeunes filles pour qu’elles ressemblent au plus vite à des femmes et se marient, mutilations sexuelles , polygamie, la condition féminine en Mauritanie est dramatique.
«J’ai maintenant la chance de pouvoir me tenir au courant de ce qui se passe derrière les coulisses de la politique. Et de participer à l’élaboration des lois. Concernant les femmes, il est urgent de créer une nouvelle législation pour que toutes les petites filles soient scolarisées.» Selon les Nations Unies, 76% des Mauritanienne le sont. Un taux jugé «élevé» par rapport à d’autres régions d’Afrique.
Elle vibre sur scèneDeux heures plus tard, Malouma est sur scène. Elle vibre au son des instruments, chante passionément, sourit toujours. Elle transpire sous ces beaux tissus qui la couvrent de la tête aux pieds, laissant libre son visage lumineux. Elle perd son voile, se retourne, le replace délicatement, continue à chanter avec autant de force. Et remercie son public.
Un grand merci à ma fille Anaïs qui m'a fait connaître ce site !
Plus besoin d'écouter les sirènes vendeuses des parfumeries ! Vous repèrez un produit et avant de vous jeter sur le flacon, vous venez lire l'avis des dizaines, voire des centaines d'utilisatrices ! Temps et argent économisés..
Je peux écouter cette chanson cent fois d'affilée, je suis toujours séduite, emportée par la voix qui claque et les rythmes lourds..
Dès l'aérogare J'ai senti le choc Un souffle barbare Un remous hard-rock Dès l'aérogare J'ai changé d'époque Come on! Ça démarre Sur les starting-blocks
Gare gare gare Là c'est du mastoc C'est pas du Ronsard C'est de l'amerloc Sera-ce la bagarre Ok je suis ad hoc J'aurai le gros cigare En or, les pare-chocs
Dès l'aérogare J'ai senti le choc Faut rentrer dare-dare Dans la ligne de coke Un nouveau départ Solide comme un roc Une pluie de dollars Ici Nougayork
Ici superstar Je suis gonflé à bloc C'est l'enfance de l'art C'est l'oeuf à la coque
A moins qu'un lascar Au détour d'un block Et sans crier gare Me découpe le lard
Jour noir sur les routes, annonce Bison futé ! Nous ne le savons que trop, nous pauvres habitants de l'est lyonnais !
Un concepteur eut - un jour - l'idée géniale de construire la Rocade Est pour contourner Lyon . Hélas, cette Rocade fut conçue avec 2 voies de chaque côté . Des milliers de camions l'empruntent quotidiennement, formant un mur quasiment infranchissable si l'on ose vouloir pénétrer sur cette route !
Ne parlons pas des fameux week-ends de vacances, où nous devons nous contenter d'observer la marée déferlante de véhicules , du haut des ponts enjambant la Rocade.
Hors de question d'oser s'infiltrer dans ces files de vacanciers stressés !
"Le Sénat rétablit la non-imposition des parachutes dorés
Les députés font, les sénateurs défont.
Les sages ont supprimé vendredi soir un amendement au projet de loi travail, emploi et pouvoir d'achat (Tepa) adopté à l'Assemblée nationale le 17 juillet. Celui-ci rendait imposables pour les entreprises les indemnités de départ au-dessus d'un million d'euros, en visant les parachutes dorés.
Le rapporteur général Philippe Marini (UMP) a jugé que cette disposition «jouerait en défaveur de la compétitivité des sociétés françaises, en particulier dans le recrutement de personnels à haute valeur ajoutée».
Pour lui, une indemnité supérieure à un million d'euros «peut-être justifiée, si elle vient récompenser une performance et un engagement manifeste du dirigeant». En outre, «l'administration fiscale dispose d'un pouvoir d'appréciation et de redressement du caractère excessif d'une rémunération directe ou indirecte», de même que «le juge peut également être appelé à se prononcer sur une indemnité excessive qui serait constitutive d'un acte anormal de gestion».Les sénteurs examinent depuis mercredi le «paquet fiscal»."
20minutes.fr
Qui surnomme les sénateurs les " sages " ? Supprimons donc cette institution d'un autre temps ! Ils ont réussi à me gâcher ce début de journée, ces cons !
" Légère et court vêtue, elle allait à grands pas..."..
" Court vêtue " ? ça c'est vrai, vue la chaleur qui règne de bon matin.." légère " ? heuuuu, j'irais pas jusque là.. " à grands pas " ? non plus ! Ma sciatique me laisse peu de place pour des folies gymniques :-)
Le projet "Sagesses de l'humanité" a vu le jour en 2003 et se concrétise par une collection de livres proposant des photographies prises dans le monde entier et parfois légendées par des citations de sages ou de philosophes de tous les temps. Ainsi, cette photographie de nourrisson est mise en valeur par une citation de Jack Kornfield : "Chacun de nous doit faire entendre son propre rugissement du lion - persévérer avec un courage inébranlable lorsqu'il est confronté à toutes sortes de doutes, de tourments et de peurs - pour déclarer son droit à l'Eveil."
Pour la première fois, une trentaine de concerts de musique classique du "Verbier festival & Academy" en Suisse sont disponibles gratuitement sur le web, dont la moitié diffusés en direct.
Une trentaine de concerts du festival suisse de musique classique "Verbier festival & Academy", sont diffusés en haute résolution sur le web, dont la moitié en direct. L'édition 2007 a débuté vendredi 20 juillet et elle s'achèvera le 5 août.
C'est la première fois qu'un festival donne accès via internet gratuitement et quotidiennement à la quasi totalité de ses concerts, selon Hervé Boissière, responsable des nouveaux médias chez Medici Arts. C'est sur cette plate-forme audiovisuelle que les internautes pourront se connecter. Avec cette opération dotée d'un budget de 1,3 million d'euros, Medici Arts, porté par la société de production audiovisuelle française Idéale Audience, espère toucher quelque 100.000 internautes, soit environ trois fois la fréquentation normale du festival.
Le concert d'ouverture du festival, le "Requiem allemand" de Brahms sous la direction de l'Autrichien Manfred Honeck, a été diffusé vendredi à 20h30.
Vidéos disponibles jusqu'au 31 août
Ensuite, Medici Arts diffusera chaque jour en direct le concert de 19h00 et 17 autres en différé, avec également les reportages en coulisses et les interviews.Une douzaine de ces programmes pourront aussi être visionnés sur le site de la chaîne franco-allemande Arte, partenaire avec la télévision japonaise NHK de cette opération soutenue par le Centre national de la cinématographie (CNC).L'ensemble des vidéos resteront disponibles sur le site de Medici Arts jusqu'au 31 août.
Parmi les artistes et formations invités au festival figurent la pianiste argentine Martha Argerich, la soprano américaine Renée Fleming et l'Orchestre du Festival de Verbier en compagnie de chefs comme l'Indien Zubin Mehta ou le Russe Mikhail Pletnev.
Concours de film amateur avec "L'Ecran d'Or du Net"
Le Festival Européen des 4 Ecrans organise une compétition pour les amateurs. Les films seront projetés durant le festival. Les participants ont jusqu'au 9 septembre pour envoyer leur film.
Le Festival Européen des 4 Ecrans organise à l'occasion de sa première édition, du 27 au 29 septembre, une compétition de film amateur en ligne, "en quête des images du réel". Un concours ouvert à tous, dont le premier prix est une station de montage mobile, un MacBook pro 17, Final Cut Studio 2 et une journée de formation.
Les organisateurs présentent leur commande comme suit:
"Loin des fictions formatées et des reportages pré-écrits, nous vous proposons de partir en quête des images du réel. En l'espace de quelques minutes, d'un plan séquence ou de quelques plans furtifs, capturez des histoires, des visages et des pensées. Faites la part belle aux faits divers ou privilégiez le portrait, imprégnez-vous d'un quartier et de ses légendes, lancez-vous dans l'investigation. Soyez les témoins du monde réel…"
Vote des internautes :
Les dix meilleurs films seront sélectionnés par un vote des internautes et seront projetés lors du festival. Puis, un jury professionnel, présidé par Bruno Gaccio, décernera l'Ecran d'Or du Net au meilleur d’entre eux.Le Festival Européen des 4 Ecrans braque les projecteurs sur les images produites pour le ciné, la télé, le net ou le mobile. Il est consacré exclusivement aux productions européennes d’images axées sur le réel et les faits de société. Il tiendra sa première édition à la BnF et au MK2 Bibliothèque, à Paris, en partenariat avec CANAL+ et Apple Expo.
Châteauroux poursuit son rendez-vous avec la céramique contemporaine, dont l’usage est en constante mutation depuis plusieurs années. De nombreux artistes étrangers, majoritairement américains et européens se mélangent aux créations françaises et locales. Invités d’honneur de cette biennale 2007, dix artistes suédois choisis par Inger Molin viennent présenter leurs œuvres. Cette exposition est placée sous le signe de l’innovation.
Vrai de vrai ! Je viens de recevoir cet horoscope ! Tu vois, l' Anonyme : je n'invente rien !Ils m'écrivent que je dois faire l'amour contre mes insomnies récurentes, faire l'amour ou faire des folies de mon corps!
Bon, si c'est eux qui le disent ! Je veux bien tenter l'expérience ! Que ne ferais-je pas pour prouver scientifiquement que ça marche ! :-)
" Si vous avez le problème de réveil nocturne, comme ce sera probablement le cas cette fois, cherchez l'endormissement dans une lecture neutre ou dans l'audition très atténuée d'une musique douce et agréable. Pensez éventuellement à allumer une veilleuse de faible intensité. Et, pourquoi pas, faites l'amour, ou encore livrez-vous à des fantasmes érotiques modérés. "
J'ai un souvenir mitigé de ma première " expédition" dans un labyrinthe de maïs . J'étais en vacances chez ma soeur en Indre-et-Loire . Un après-midi, nous avons pris mes enfants sous le bras et direction le fameux labyrinthe .. Une animation vraiment originale et passionnante mais sous un soleil de plomb ! Perdue au milieu des maïs géants, j'envisageais avec horreur de mourir d'une insolation ou d'épuisement ou de déshydratation ou des trois..J'imaginais la découverte de nos os blanchis lors de la récolte dudit maïs ! Quel souvenir et quel soulagement lorsque j'aperçus la sortie et la civilisation ! :-))
L’été du dragon Pister les dragons d’Orient et d’Occident dans un labyrinthe géant semé d’énigmes et d’embûches, croiser des elfes et des conteurs, trouver la Perle de la sagesse… Pour les grands frissons, c’est par ici ! par Cécile Alizon
Pour ne pas faire de jaloux, les organisateurs de cet événement ont mis les bouchées doubles cette saison avec un parcours proposé conjointement dans les jardins du château de Merville, en Haute-Garonne, et au parc Labyrinthus d’Alsace, à Ribeauvillé, dans le Haut-Rhin.
Tout l’été, Dragons & Merveilles embarque toute la famille pour une aventure insolite sur les traces de la plus fascinante des créatures imaginaires. En guise d’entrée en matière, on choisit sa proie avec un trombinoscope des dragons célèbres, du Quetzalcoatl à plumes des Aztèques au Midgardorm scandinave. On passe ensuite la porte d’Ishtar pour emprunter le parcours des dragons d’Orient, ou la porte de l’Apocalypse pour celui des dragons d’Occident. Et c’est parti ! Au détour des allées plantées de buis du labyrinthe créé au XVIIIe siècle par le sénéchal de Toulouse au château de Merville, ou celles, bordées de maïs, du parc Labyrinthus de Ribeauvillé, les enfants devront trouver les indices ouvrant la porte d’eau de Typhon ou la grille des Héros, reconstituer le puzzle du dragon de Léonard de Vinci, apprendre à différencier les empreintes de ces animaux fabuleux de celles des dinosaures, et même à couver les œufs des dragonnes et prendre soin de leurs petits.
En chemin – et la route est longue, car les deux labyrinthes s’étendent sur plus de 3 hectares –, ils rencontreront un chevalier, un mandarin conteur, une roue de l’astrologie chinoise, un cabinet de curiosités… Autant d’indices pour retrouver la Perle de la sagesse aux pouvoirs magiques que les dragons cachent au fond de leur gorge.
On ne vous en dit pas plus, si ce n’est que 65 % des visiteurs de Labyrinthus y reviennent d’une année sur l’autre, ce qui constitue un bon indice de popularité.
Je feuilletais le site internet de LA FEMME sur le figaro.fr, lorsque j' aperçus une ravissante chaussure ballerine de Patrick Cox ( pour moi, un illustre inconnu jusque là).. Séduite par la joliesse de la chaussure, je frétillai d'aise à l'idée de parcourir les pages du site du créateur :
Sur la page " Women", de ravissants escarpins importables ! Je mets au défi n'importe quel créateur masculin de chaussures, de porter une soirée ou une journée, une seule de leurs créations !
J'adore les escarpins ( je l'ai déjà écrit) mais ces talons vertigineux sont irréalistes !
PATRICK COX
Ballerine en cuir verni et mat :375 €.
Actuellement, dans les boutiques Patrick Cox, ce modèle est à 187,50 € pour les soldes.
Lorsque j'emprunte un texte ou un morceau de texte à un site , j'essaie - par honnêteté - de mettre le lien qui vous emmènera à ce site ! Pour les photos, je procède de la même manière, mais il peut m'arriver d'ignorer la provenance de certaines images . Quant aux gifs, il est plus délicat de déterminer qui les a créés . Si l'un de vos gifs apparaît sur mon site, veuillez m'en faire part . Je mentionnerai immédiatement votre participation involontaire à ce blog !:-) Pour me joindre : m69.roux@laposte.net "Et quand la vérité n'ose pas aller toute nue, la robe qui l'habille le mieux, c'est l'humour." [ Viens faire l'humour... et le plaisir! ] Doris Lussier